Stable Vices + Entre Nous bundle

This bundle brings together Joanna Piotrowska’s Stable Vices (2021) with the new French-language booklet Entre nous (2023) to form a complete overview of the Polish artist's major photographic and film works to date, spanning themes of containment, physicality, oppression, and freedom, and accompanied by texts by Sara De Chiara, Joanna Bednarek, Dorota Masłowska, and Anouchka Grose. Published in conjunction with an exhibition at LE BAL, Paris, 16 February to 21 May 2023.

Praise for Stable Vices:

‘After more than a year of restrictions, Piotrowska’s photographs – and how they explore ideas of confinement, shelter, inequality and oppression – feel especially arresting and vital, in their uniquely unsettling ways.’ AnOther

‘There’s so much to be done to ease the fear and pain that women face every day, and Stable Vices almost replicates the types of daily traumas that many may go through: the preparation of defence, the need for a safe space and oppression. At once concerning and here to evoke change, we must also think of her photography as a form of remedy.’ PORT Magazine



Cet ensemble réunit le livre Stable Vices (2021) de Joanna Piotrowska et son nouveau livret en français intitulé Entre nous (2023) et donne un panorama complet des principales oeuvres photographiques et filmiques de l'artiste polonaise à ce jour, examinant les thèmes du confinement, de la physicalité, de l'oppression et de la liberté, et accompagnées de textes de Sara De Chiara, Joanna Bednarek, Dorota Masłowska et Anouchka Grose. Publié à l'occasion d'une exposition au BAL, Paris, du 16 février au 21 mai 2023.

Éloges pour Stable Vices:

‘Après plus d'un an de restrictions, les photographies de Piotrowska - et la façon dont elles explorent les idées d'enfermement, d'abri, d'inégalité et d'oppression - apparaissent comme tout particulièrement saisissantes et vitales, intrinsèquement uniques et troublantes.’ AnOther

‘Il y a tant à faire pour apaiser la peur et la douleur auxquelles les femmes sont confrontées chaque jour, et Stable Vices reproduit presque tous les types de traumatismes quotidiens que beaucoup d’entre elles peuvent traverser : la préparation à la défense de soi, le besoin d'un espace sûr et l'oppression. A la fois inquiétante et là pour évoquer le changement, il faut aussi penser à sa photographie comme à une forme de remède.’ PORT Magazine